Back2Car est la marque de pièces de réemploi d’Alliance Automotive Group (AAG).
Née du rachat de quatre entreprises de déconstruction, cette gamme de pièces d’occasion s’élargit à l’échange réparation pour répondre à une évolution globale du marché. Dans ce contexte, le groupe devrait annoncer quatre autres acquisitions d’entreprises spécialisées avant de lancer un site internet grand public de vente de pièces de seconde vie.
Back2Car est née au sein d’AAG d’une stratégie globale de développement sur la pièce de réemploi. Le point de départ est l’obligation imposée aux ateliers de proposer à leurs clients une alternative à la pièce neuve en pièces d’occasion. A partir de cette évolution réglementaire, le groupement s’est lancé dans une stratégie d’acquisitions de centres de déconstruction agréés. L’objectif consistait à créer une filière structurée de pièces de réemploi, destinées aux distributeurs du groupe.
Aujourd’hui, l’offre est constituée et toujours réservée aux trois enseignes d’AAG.
« De nombreux concurrents aimeraient accéder à nos pièces » glisse malicieusement Luc Fournier, directeur technique et pièces de réemploi d’Alliance Automotive Groupe. Le groupe a mis sur pieds un modèle qu’il juge aujourd’hui solide. « Les fondations de la maison sont en place. Nous pouvons maintenant accueillir des cousins » ajoute Luc Fournier. Ces « cousins » devraient prendre la forme de quatre nouvelles entreprises de déconstruction, qui rejoindraient dans un proche avenir la galaxie AAG. De quoi augmenter la production de pièces d’occasion pour passer à la vitesse supérieure en s’attaquant directement aux particuliers.</>
Back2Car est née au sein d’AAG d’une stratégie globale de développement sur la pièce de réemploi. Le point de départ est l’obligation imposée aux ateliers de proposer à leurs clients une alternative à la pièce neuve en pièces d’occasion. A partir de cette évolution réglementaire, le groupement s’est lancé dans une stratégie d’acquisitions de centres de déconstruction agréés. L’objectif consistait à créer une filière structurée de pièces de réemploi, destinées aux distributeurs du groupe. Aujourd’hui, l’offre est constituée et toujours réservée aux trois enseignes d’AAG. « De nombreux concurrents aimeraient accéder à nos pièces » glisse malicieusement Luc Fournier, directeur technique et pièces de réemploi d’Alliance Automotive Groupe. Le groupe a mis sur pieds un modèle qu’il juge aujourd’hui solide. « Les fondations de la maison sont en place. Nous pouvons maintenant accueillir des cousins » ajoute Luc Fournier. Ces « cousins » devraient prendre la forme de quatre nouvelles entreprises de déconstruction, qui rejoindraient dans un proche avenir la galaxie AAG. De quoi augmenter la production de pièces d’occasion pour passer à la vitesse supérieure en s’attaquant directement aux particuliers.